Monseigneur luy a ordonné pour le passe temps qu'il luy a fait, par mandement donné a Bar, le 20" jour de novembre l52~.B n
H y avait eu des fêtes magnifiques, à Bar, pour le baptême du prince Nicolas de Lorraine. Le chroniqueur loue ainsi l'agrément qu'y apporta Pontalais « La feste estoit. esjouye par Songecreux et ses enfants, Mal-me-sert, .PoM~4cyK~, et~eM-Me- qui, jour et nuit, jouoient farces vieilles et nouvelles, rebobelinées, et joyeuses a merveille ». (Voy. sur Pontalais nos Cowe~~M~ France au MoyenAge, pages 167 à 180.)
I524. SAiNT-OMER. Le Guerre et de ~y. H y eut théâtre ouvert et quasi permanent, de 1324 à 1537, dans l'abbaye de Saint-Bertin, à Saint-Omer. En f524, l'économe paie « vi sols a plusieurs compaignons ayans jouwé devant Monseigneur (l'abbé) et aultres, le Debat de la <?Mcrre de la Paix t. Voyez ci-dessus pages g2 et 335.
l52~. CAMBRAI.
« A ung nomé Beloni et ses compaignons jueurs sur cars, aians jué au devant le chambre, et ailleurs, en la cité, certain jeu'de moralité, le jour. sainte Scolastique dernier passe. xxx s.~ p.
1525. COMPIÈGNE.
La ville donne huit sous à « no mere Sottye, Jehan Jeni. Comptes du Trésorier-Général, dans H. Lepage, Études sur le théâtre en Lorraine, 18~.8, p. 263.
2. Fleury, Origines et développement de l'art théâtral dans la prot~:ce de Reims, Laon, 1881, in-8".
3. Durieux, Lethéâtre à Cambrai, Cambrai, Renaut, f883, in-8°. P. DE J. RÉPERTOIRE. 4