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Titre : Théâtre : mystère, comédies et ballets / Théophile Gautier

Auteur : Gautier, Théophile (1811-1872). Auteur du texte

Éditeur : Charpentier (Paris)

Date d'édition : 1872

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304902621

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 492 p. ; in-18

Format : Nombre total de vues : 495

Description : Collection numérique : Bibliothèques d'Orient

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k209368w

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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pirouette, saute, il suit Giselle dans ses bonds icsptus hasardeux dans tafrenosioàiaq~eiieits'nbnndonno perce ]o secret désir de mourir avec sa maîtresse et de suivre au tombeau l'ombre adorée; mais quatre heures sonnent, une ligne pâle se dessine au bord de l'horizon. C'estlejour, c'est le soleil, c'est la délivrance et le salut. Fuyez, vision des nuits! fantômes btafards, évanouissez-vous! Une joie céte.ste brille dans les yeux de Gi~cuo son amant ne mourra pas, l'heure est passée. La belle Myrtha rentre dans son nénut'ar. Les wilis s'éteignent, se fondent et disparaissent. Giselle elle-même est attirée vers sa tombe par un ascendant invincible. Albrecht, éperdu, la saisit dans ses bras, l'emporte en la couvrant de baisers et l'assoit sur un tertre fleuri; mais la terre ne veut pas tacher sa proie, l'herhe s'ontr'ouvre, les plantes s'inclinent en pleurant leurs tarmes de rosée, les fleurs se penchent. Le cor résonne; Wilfrid, inquiet, cherche son maître. Il précède de quelques pas le prince de Courtaude et Bathilde. Cependant les fleurs envahissent Giselle; on ne voit plus que sa petite main diaphane. La main elle-même disparait, tout est fini! Atbrccbt et Gi selle ne se reverront plus dans ce monde. Le jeune homme s'agenouille auprès du tertre, cueille quelques-unes des fleurs, les serre dans sa poitrine, et s'éloigne la tête appuyée sur l'épaule de la belle Bathilde, qui lui pardonne et le console.

Voilà, à peu près, mon cher poète,comment.M.de SaintGeorges et moi, nous avons arrangé votre charmante légende, avec l'aide de M. Coralli, qui atrouvé des pas, des groupes et des attitudes d'une étéganeo et d'une nouveauté exquises. Nous vous avons choisi pour interprètes les trois Grâces de t'Opéra: mesdames CartottaGrisi.AdètcDumitâtre et Forster. La Car)ottaadansé avec une perfection, une tégèreté une hardiesse, une volupté chaste et délicate qui )r! mettent au premier rang entre Esstcr et TagHon!; pourlapanto-