LA FEMME DE DIOMÈDE
PROLOGUE RÉCITÉ A L'fNAUGBRATION DE LA MAISON POMPËtENNE DU PRINCE NAPOLÉON
ARRIA, couchée sur un lit de repos, dans un sommeil léthargique. Ai-je dormi?. mais non. j'étais morte! Nul rêve Ne traversait la nuit de mon sommeil sans trêve. Le Mercure funèbre avait, aux sombres bords, Il me semble, conduit mon ombre; pour mon corps, Au fond du souterrain dont la voûte s'écroule, Les laves du Vésuse en conservaient le moule. Je serrais sur mon coeur mon coffret à bijoux, Dans ma fuite. L'écrin les renferme encor tous!
A remonter le temps que Mnemosync m'aide Oui. j'étais Arria, femme de Diomède. J'habitais un palais pour sa splendeur vanté;