SIMON..
,Ça ne sera pas long. (mire son sabre.) En garde, mon petit voltigeur.
MATHIAS.
En garde, mon grand cuirassier! (H essaye vainement de tirer son Mbro.) Cré! Aide-moi donc à tirer mon sabre. Il est rouillé dans le fourreau.
SIMON, l'aidant à dégatner.
Prends garde de lui ressembler.
Ils se mettent en garde.
MATHIAS.
NOUS Verrons bien (ib ferraillent. Tout à coup Mathias rompt la garde <!t se frappe le front.) Tonnerre! 1 sommes-nous bêtes t SIMON.
Tu recules?
MATHIAS.
Non pas, morbleu mais nous ne sommes pas des vaga. bonds 'pour nous battre ainsi sans faire nos testaments. Donne-moi de l'encre et du papier.
SIMON.
C'est juste. En voilà.
MATHIAS, de même.
Merc!. (!k s'M~eoient chacun de fettr côté et écriteet.) échVOnS. SIMON.
Ecrivons.
MATHIAS.
As-tu fini, tête de mule?
sMON.
Oui, tête de baudet.
Ils posent leurs testaments sur la table.
MATHIAS.
Eh bien reprenons la conversation. (Ils se remettent en garde,