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Titre : Saynètes et monologues : Première-huitième série. Troisième série

Éditeur : Tresse (Paris)

Date d'édition : 1877-1882

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb33596855f

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 6 vol. ; in-18

Format : Nombre total de vues : 249

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k207939j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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e-t très-satisfait « de l'affaire. » Toujours les affaires « Écris-moi bien chaque jour, régulièrement, je t'en prie! s–l~cgulièrement! Passionné, va! Chiffre! –x Mas~nté?.& » comme s'il ne savait pas à quoi s'en tenir là-dessus. quand il m'a quittée. la veille D'ailleurs, ma santé lui est bien indifférente ici, jamais il ne m'en parle. Et puisl est-ce que la santé fait question. quand on se porte bien! 1 Formule de politesse, voilà tout. Je lui ai répondu. et je lui répondrai. régulièrement. autrement, c'est moi qui aurais l'air d'être dans mon tort! (Après m temps, de profonde ref]MKm.) Ah les parents sont bien coupables Mais on gèle, ici, littéralement. (Bourrant la. cheminée de cinq à six huches, tout en regardant l'heure à la pendule.) Neuf heures moins le quart. Ah! dépochons-nous. (EUe se relève, puis se baissant.) Bon j'ai mis trop de bois, maintenant. (Otant trois bûches avec les pincettes et arrangeant le feu a la diable.) Un peu plus, il était éteint. je l'avais étouffé. Je ne sais pas faire le feu, moi J'ai congédié Marie, ce soir. elle m'aurait gênée., ici. et, sans femme de chambre, c'est bien incommode. Enfin! Voyons, je vais m'habiller. (Devait la glace de la cheminée.) Hou 1 je suis serrée, dans mon corset, :) étOUHèr. Ma pelisse? (Elle la prend et, la-tenant des deux mains devaot eik, redescend pensive.) Je suis sùre que ce doit être charmant, chez lui, que ce doit être Avec les idées qu'il a, il a dù se meubler un intérieur. étonnant! Je voudrais déjà y être; j'adore ça, aller chez les gens pour la première fois on voit un tas de choses qu'on ne connaît pas, on fait des découvertes, c'est très-amusant. On étudie le mobilier, un dit que ça peint le caractère. Oh 1 mon Dieu s'il allait y avoir des portraits de. d'actrices? Et si ça allait tout bonnement être comme chez tout le monde. Oh non, ça ne sepeut pas; quand on est poëte à ce point-là Eu! eu! Cependant, il une pièce de vers. (Rèmontant à ta table, toujours avec sa pelisse qu'elle tient de la main droite, tout en feuilletant malaisément le volume de la main gauche puis, tout à coup, impatientée, jetant sa pelisse sur ses épaules.) Ce manteau. me gêne! (EUe s'assied, cherche, des deux mains cette fois; ayant trouvé.) Celle-ci, qui est toute courte. et qui n'a p~s de titre.