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Titre : Saynètes et monologues : Première-huitième série. Troisième série

Éditeur : Tresse (Paris)

Date d'édition : 1877-1882

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb33596855f

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 6 vol. ; in-18

Format : Nombre total de vues : 249

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k207939j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LÉON, à part.

Ah! mais non; (aant.) et votre nièce Mathitde qui t'aimu autant que vous-même.

MADMIER.

Je démasquerai le traître.

LÉON.

Il dira que vous vous battez par procuration.

MADINIER.

On ne le croira pas.

LÉON, à part.

Je me suis mis dedans. c'est à recommencer. (on sonne,

Léoaprctet'oreiUe.) Ah! j'entends qu'on est allé ouvrir; Pierre est rentré.

On entend le bruit d'une légère discussion près de la porte, discussion dominée par la voix de Cambrefort qui dit très-haut: C'est inutile de m'annoncer votre maître m'attend; place, jeune homme. <

SCÈNE V

LÉON, MADtNIER, CAMBREFORT, Mtra.t M coup de vent et allant droit à Madinier.

CAMBREFORT.

Madinier, ta te rouilles. tu cribles de tricheries le noble jeu des armes. tn ne devrais plus être ici.

MADINIER, lui tournant fo dos.

L'individu qui me parle semble ignorer que la journée 'n'est pas encore finie.

CAMBREFORT.

Madinier, je te trouvé métaphysique. tâche donc, une fois dans ta vio, d'être clair.