en Portugal, un Satvandiduxvte siècle. Cela, mis en chapitres, ornés de gravures, se tire à cent miUe exemptaires dont quelques uns se vendent, etc. Le libraire effrayé s'empresse d'acheter le manuscrit de la Physiologie du cigare. Le lendemain, le Bravo vante l'opération dans un autre journal par un article qui commence ainsi Le xvnf siècle a eu la mode des Carlins, aujourd'hui nous avons. celle des
Physiotogies.LesPhysiotogiessont comme les moutons de Panurge, elles courenttes unes après tes autres, Paris se les arrache, et on vous y donne pour .< vingt sous, plus d'esprit que n'en a dans son mois un homme d'esprit. Et comment en serait-il autrement? Ces petits livres sont écrits par les gens les plus spirituels de notre époque (vingt-sept KOHM). Aussi les Physiologies se trouvent-ettes sur toutes les tables de salon avec les œuvres de ceux qui ont le monopote de la plaisanterie écrite à coups de crayon. Une Physiologie est aussi indispensahle à une femme comme il faut qui veut rire que le f~oyaf/e o:; t7 MM ~<ttt'« de TonyJohannotet d'Alfred de Musset, que les charmantes Scènes de la vie privée et publique des Animaux par Sthal et Grandvitte, etc., etc,
Dnux)È)Œ VARIÉTÉ. Ac //<ag<tCH)'11 y cette différence entre le Blagueur et te Bravo, que le Blagueur raille pour railler, calomnie avec l'opinion publique, par erreur. Le Blagueur vous demande au besoin pardon de la. liberté grande, et attaque pour son compte. 11 fait feu sur les sottises publiques, il secoue les vieux pour voir s'ils se tiennent encore sur leurs arbres; s'ils tombent, il passe a.d'autres en se glorifiant d'écheniller ainsi le Double Vallon. Les Blagueurs on<<ué le Constitutionnel en lui tuant son hydre de l'anarchie, ani-