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Titre : Catilinaires. et Philippiques (Nouv. éd. rev. avec soin) / de Cicéron ; de Démosthène ; trad. par M. l'abbé d'Olivet,...

Auteur : Cicéron (0106-0043 av. J.-C.). Auteur du texte

Auteur : Démosthène (0384-0322 av. J.-C.). Auteur du texte

Éditeur : J. Gaude (Nisme)

Date d'édition : 1811

Contributeur : Olivet, Pierre-Joseph d' (1682-1768). Traducteur

Contributeur : Olivet, Pierre-Joseph d' (1682-1768). Traducteur

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12254967j

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38949013c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : XXI-370 p. ; 17 cm

Format : Nombre total de vues : 370

Description : [Catilinaires (français). 1811]

Description : Comprend : Philippiques

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k205956j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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n'y songe point. Aux Dieux ne plaise que pour ma justification je souhaite qu'il soit vu à ta tête d'une armée dans trois jours cependant la nouvelle vous en viendra et s'il arrive qu'on me juge repréheusible je crains fort que ce ne soit bien moins pour l'avoir chassé que pour avoir permis son évasion. Mais quoique sa fuite ait été vOJontaire si pourtant il se trouve des gens qui disent que je l'ai banni quels discours ces gens-là tiendront ils donc, si je lui avois ôté la vie~

16. Quand ils font courir le bruit qu'il se retire à Marseille ce n'est pas qu'il le croient c'est bien plutôt ce qu'ils craindroient. Aucun de ceux qui paroissent s'attendrir sur son sort, .ne l'aimeroit mieux à Marseille qu'au camp de Mallius et luimême, quand sa démarche actuelle ne seroit pas préméditée, n'aimeroit-il pas mieux chercher la mort en faisant son métier de brigand, que de se tenir paisible dans un lieu d'exil? Au fond, puisqu'à cela près, qu'en sortant de Rome, il nous y a laissés en vie toutes ses entreprises lui avoient réussi loin de nous plaindre qu'il aille en exil c'est ce que nous devons souhaiter. VIII. Mais à quoi bon parler si longtemps d'un ennemi seul, d'un ennemi qui se donne pour tel et qui a cessé de nous être formidable, depuis qu'il y a comme je l'ai toujours désiré un mur entre nous et lui

5.