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Titre : Catilinaires. et Philippiques (Nouv. éd. rev. avec soin) / de Cicéron ; de Démosthène ; trad. par M. l'abbé d'Olivet,...

Auteur : Cicéron (0106-0043 av. J.-C.). Auteur du texte

Auteur : Démosthène (0384-0322 av. J.-C.). Auteur du texte

Éditeur : J. Gaude (Nisme)

Date d'édition : 1811

Contributeur : Olivet, Pierre-Joseph d' (1682-1768). Traducteur

Contributeur : Olivet, Pierre-Joseph d' (1682-1768). Traducteur

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12254967j

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38949013c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : XXI-370 p. ; 17 cm

Format : Nombre total de vues : 370

Description : [Catilinaires (français). 1811]

Description : Comprend : Philippiques

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k205956j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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(8) Fésule. Vous verrez qu'elles sont au Centurion Mallius, qui de son chef déclare la guerre au peuple Romain que Catilina n'y a point de part qu'il n'est point attendu au camp et que bien loin de s'y rendre ce prétendu exiié va droit à Marseille comme le bruit en court.

VII. Triste condition, que d'avoir nonseulement à conduire mai: à sauver une Republique Quoi si tapeur venoit s'emparer de Catilina, maintenant que je l'ai mis en déroute, non sans beaucoup de travaux et de périls si ch~n~eant tout-à-coup de pensée, il renonçoit à sa détestabie faction; si tout-à-coup se détournant du chemin qui le mène à une guerre criminelle il prenoit effectivement ie parti de s'exiler dans ce cas-là, on ne diroitpas que je l'ai prévenu désarmé effrayé désespéré on diroit que c'est un homme innocent, qui a été banni par les menaces et par la violence du Consul. Au lieu de le regarder comme un scélérat, on trouveroit qu'il mérite d'être plaint et moi, au lieu de passer pour un Consul très-zélé je ne serois qu'un trèscruel tyran.

15. Je veux bien, ROMAINS, que la haine et l'injustice s'acharne sur moi pourvu qu'à ce prix-là j'éloigne de vous le fléau de cette guerre sacrilège. Qu'on m'accuse d'avoir envoyé Catilina en exil, j'y consens pourvu qu'il y aille. Mais croyez-moi, il