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Titre : Catilinaires. et Philippiques (Nouv. éd. rev. avec soin) / de Cicéron ; de Démosthène ; trad. par M. l'abbé d'Olivet,...

Auteur : Cicéron (0106-0043 av. J.-C.). Auteur du texte

Auteur : Démosthène (0384-0322 av. J.-C.). Auteur du texte

Éditeur : J. Gaude (Nisme)

Date d'édition : 1811

Contributeur : Olivet, Pierre-Joseph d' (1682-1768). Traducteur

Contributeur : Olivet, Pierre-Joseph d' (1682-1768). Traducteur

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12254967j

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38949013c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : XXI-370 p. ; 17 cm

Format : Nombre total de vues : 370

Description : [Catilinaires (français). 1811]

Description : Comprend : Philippiques

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k205956j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tmne de Rome, et par conséquent celle du monde entier Je les vois ,jnoi Consul je prends leur avis sur tes affaires présentes et au lieu que je devrois répandre leur sang, je ne Hétris pas même encore leur nom. Vous avez donc été cette nuit-là chez Lecca: vous y avez CATILINA partagé l'Italie en divers cantons assigné à chacundes conjurés son poste choisi ceux qui resreroient

ici, et ceux qui vous suivroient marqua les quartiers de Rome où l'on mëttroit le feu. ~ous !cveT. A\t<~ue ce qui temdott votre départ, c'est gu'on ne s'étoit pas défait encore de moi. Et là-dessus il s'est trouvé deuxchevaliers Romains qui, pour vous tirer de cet embarras, vous ont promis que cette même nuit-là,' un peu avant le jour ils viendroient me poignarder dans mon lit. 10. A peine étiez-vous séparés que tout me fut rapporté. Je renforçai la garde de ma maison. Et quand parurent ceux qui ve- noient de v6tre part me saluer le matin je leur 6s refuser l'entrée. C'étoient à point nommé ceux qu'on in'avoit dit. J'avois même instruit du coup qu'ils méditoient, plusieurs personnes d'un rang distingué.' V. Ainsi, CATILINA suivez votre plan. Partez en6n les portes de Rome vous sont ouvertes j partez. Déjà l'armée de Mallius est dans l'impatience de posséder son Général. Faites-vous accompagner de tous vos partisans au moins du plus grand nombre i