A 6 heures et demie du matin et à 5 heures du soir, au coup de baguette, il faut être debout, à sa place, en tenue régulière, prêt à répondre à l'appel du Aa~o~; puis, chacun est .libre de piocher. C'est ce que tout le monde fait dans les premières semaines, qui i'a/npAt, qui l'épure, qui la colle ou le laïus, tous visant lahotte. Mais ce beau zèle dure peu ou, du moins, il ne saurait être continu. H faut bien laisser prendre au cerveau surmené un peu de repos. Après le premier classement, beaucoup ont définitivement renoncé à la hotte alors ils s'ingénient a trouver la
faire un bout de causette dans les salles voisines, une ba)ade aux /o/tyc/tam/M. Parfois on taille. une bavette générale, ce qui permet une courte halte dont tous les travailleurs ont besoin;.le dos tourné a la table, les mains dans les poches, on donne son avis sur.le topo. qui passe, sur les questions soumises au vote'des promotions. Le soir, c'est, pour quelques-uns, le moment des. bonnes farces le /~a/&aye d'unpiocheur,Jacot!e des rouges, ou les longues parties de whist dans le f/e~er<. Le A~o~ qui passe dans le corridor n'y voit'rien. Quel guignon, s'il entend du bruit! alors il frappe avec sa clef aux vitres de la porte, c'est une consigne a ~c/ttcA'M~er, et de la prison pour les joueurs.
Les salles d'étude sont au rcx-de-chaussëe et au premier