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Titre : L'argot de l'X : illustré par les X / Albert-Lévy et G. Pinet ; préf. d'Armand Silvestre,...

Auteur : Lévy, Albert (1844-1907). Auteur du texte

Auteur : Pinet, Gaston (1844-19..). Auteur du texte

Éditeur : E. Testard (Paris)

Date d'édition : 1894

Contributeur : Silvestre, Armand (1837-1901). Préfacier

Sujet : École polytechnique (Palaiseau, Essonne) -- Langage

Sujet : Ecole polytechnique -- Histoire

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34077236m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : XIII-326 p. : ill. ; in-8

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Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k205446n

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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La Polytechnique est aussi le titre d'une chanson qui fut composée par Héron de Villefosse en 1794.

Les premiers élèves avaient institué dès 1798 et organisé depuis, par les soins de leurs anciens camarades, Rohault et Rendu, une réunion amicale où se rencontraient de temps en temps les élèves de la fondation présents à Paris. Ce fut à la première de l'une de ces joyeuses réunions qu'on entendit la Po~ec/~tyue.

Les couplets ont été recueillis par Lefrançois, devenu plus tard colonel d'artillerie, et par M. de Fourcy. On les chantait sur l'air Mes hons anM~ pourriez-vous m'enseigner.

Mes bons amis, célébrons les plaisirs De l'École polytechnique;

Mais écartons de nos joyeux loisirs Son attirail scientifique.

Le s, l'a; et l'y

M'inspirent grand respect;

Mais s'il faut que mon coeur s'explique, Franche amitié, propos joyeux,

Voilà ce que j'appris de mieux

A l'École polytechnique.

Qui le croirait! Trois cents jeunes rivaux, A l'École polytechnique,

Vivaient heureux, vivaient libres, égaux, En l'an 111 de la République

En vain les niveleurs,

Sur la patrie en pleurs

Traînaient leur niveau tyrannique Et l'amitié, tout bonnement,

Assurait son niveau charmant

Sur l'École polytechnique.

Règne sur nous, aimable souvenir

De l'École polytechnique.

Nos premiers jeux, d'un heureux avenir Sont pour nous le gage authentique. Oui, ces nœuds fraternels,

Sont sacrés, éternels

Comme les lois de la physique

Et si jamais les passions

Veulent les rompre, amis, pensons

A l'École polytechnique.