SCÈNE IV.
Hc~'DT.
Eux, des <'0med!e7!.f/ Non, des marionnettes Que le chasseur Amour, grand diseur de sornettes, Amuse, et, les tournant de face ou de profil, D'un doigt cjcr;cteM~' agite au bout d'U7! Ils sont tous fous! Voilà Rosidor qui <'OMrf;\re La belle da/Ke~ à l'âme eyz~eur comme un cytise; Amarante et Lucinde, ainsi que l'éperviér, Fondent à qui mieux mteM~ sur le comte Olivier; Agiles et déjà frémissantes de joie,
C'est à qui va mf cette innocente j~fOte.
Pymante et Jodelet, ardents comme des loups, Poursuivent Guillemette encore. Ils sont tous fous. Quant à ma comédie; on voit que leur cjpr/ce L'abandonne p'ai'menf. Le lait de leur nourrice, Ils s'en souviennent; mais, sous ces ombrages verts, Mes acteurs en de7~e ont oublié mes vers! 0 muse des chansons! ton chariot méprise
Le sang pur de ta vigne! Heureusement, Florise Me reste; celle-là; franche comme le jour, Nest pas un vain jouet pour l'indocile Amour. Z?fame au~u~fe~ Florise est ta Je't'efe amante Te/nr ton glaive sombre ou ta torche fumante,