CéHdëe~ a Hardy.
Alors einmenei-la, c'est un devoir sacre
Sauver-les. Sauvel-les tous les deux!
Hardy.
J'f~Mf'M:
Mais voyel que le comfe avec des yeux de ~amme Nous o~~crre/ Changeons de propos.
Haut, et de façon à être entendu par Olivier et par Florise. Oui, madame
Notre chariot crève à présent de santé.
Il triomphe, plus beau qu'il n'a 7'a/Nf!f été. Nous partons, car l'instant C!'e/ quoique l'on diffère; Tous nos comédiens t'o~f venir pour vous faire Leurs adieux. ~'f fg/:e~ les voici.
Les comédiens entrent et se groupent avec une sorte de solennité. Quand ils ont pris leurs places, on voit au fond de la scène Guillemette sanglotant, s'essuyant les yeux avec son tablier, et Sylvain immobile comme une statue. Rosidor s'avance vers Olivier, et prend laparoleau nom de ses compagnons.