Ef sans cesse cherchant à voir d'un Œ <]t';de Où seraient d/~crjM les débris de mon c~ur/ Olivier.
Non pas, je reviendrai &r!< heureux, vainqueur, Célèbre, et celle à qui je dirai Je vous atm~ Sera fière. Oh! /moMr/~g crois /eM;f lui-même, Ce tyran de nos c~urj~ triste et délicieux,
A cette heure deux fois charmante au front des cieux Où le &ft/f matin dans la pourpre se lève Célidée, pensive.
L'amour!
Olivier.
Oui. Lt:t~e~-m0/ vous dire fOUf/)M/! r~
Il me ~eyn~~e parfois que sur le vert coteau
Va pay~/fr~~ venant ici dans ce château,
Quelque princesse, ornant sa chevelure fière De rM&M~ à la fois chasseresse et guerrière, Et do/!f la robe d'or frissonne! Mais je suis Un fou de vous CO/Zfef ma peine et mes ennuis Et les vagues espoirs dont j'ai l'âme' inondée Vous si calme tou;ours, ma tante Célidée) Vous /afg~ pas connu ce mal cruel et doux fois, dont je souffre.