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Titre : Gazette des beaux-arts : courrier européen de l'art et de la curiosité

Éditeur : Gazette des beaux-arts (Paris)

Éditeur : G. WildensteinG. Wildenstein (New York)

Éditeur : Gazette des beaux-artsGazette des beaux-arts (New York)

Éditeur : Gazette des beaux-artsGazette des beaux-arts (Paris)

Date d'édition : 1907-01-01

Contributeur : Blanc, Charles (1813-1882). Directeur de publication

Contributeur : Reinach, Théodore (1860-1928). Directeur de publication

Contributeur : Wildenstein, Georges (1892-1963). Directeur de publication

Contributeur : Wildenstein, Daniel (1917-2001). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343486585

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343486585/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 86102

Description : 01 janvier 1907

Description : 1907/01/01 (T37,PERIODE3)-1907/06/30.

Description : Collection numérique : Originaux conservés à l'INHA

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k203170x

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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La hardiesse avec laquelle il a opéré a suscité de vives critiques, à tel point qu'on se figure généralement que le savant archéologue réédifie complètement le palais de Minos. Il eût certes mieux valu que la restauration de certaines parties ne fût pas trop poussée et qu'on eût évité au visiteur l'impression fàcheuse d'entrer dans un appartement mis à neuf. Parle fait- et c'est là le point grave on a rendu les vérifications difficiles. II est à craindre, si des repères ne sont pas nettement tracés, qu'on ne puisse bientôt plus discerner

le moderne de l'ancien. A ces réserves près, il faut reconnaître que M. Evans, même au prix de quelques supports désagréables, avait le droit de reposer telle pierre antique dans la position qu'elle occupait avant les fouilles et que sa préoccupation de couvrir certaines parties fragiles est des plus louables. La pièce principale du quartier familial du palais de Cnosse ouvre, par un portique brisé à angle droit, sur une terrasse qui domine la vallée de l'ancien Kairatos. Ce « hall aux haches doubles », comme le dénomme M. Evans, est une grande salle de réception. Ellecommunique directement, au nord, avec le grand corridor est-ouest, et au sud, par un couloir doublement coudé, avec une salle plus petite, mais de même

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DE LA HACHE D 0 IT H L E

(Musée de Candie.)

type, qu'on appelle le « mégaron de la reine ». Ces salles sont divisées par les supports en trois parties, dont l'une, sorte de courette, recevait directement la lumière d'en haut. Nous avons déjà rencontré ce mode d'éclairage dans la salle dite du Trône. Latéralement, par une fenêtre, les pièces voisines prenaient jour sur la courette.

A l'ouest, et attenant au mégaron de la reine, une petite pièce est considérée comme une salle de bain. On y voit les restes d'une baignoire qui, à la vérité, n'ont pas été trouvés dans la pièce même. Tout à côté, un étroit corridor conduit dans une chambre sur laquelle ouvre un réduit disposé en water-closet. Le système ne difXXXVII. 3* PÉRIODE. 14