position et de la facture générale, du célèbre camée connu sous le nom de « coupe de Chosroèsl » et des bas-reliefs de Nakhsh-i Roustem ou de Nakhsh-i Redjeb.
Il n'y a pas à douter de l'authenticité sassanide de ces portraits, soit que le livre dont parle le Modjmel el tewarikh fût antérieur à la
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-MINIATURE TIRÉE DES « POÉSIES DE M I ALI SIIIR R NÉVAÏ 1) MANUSCRIT EXÉCUTÉ A II É R A EN 1527
(Bibliothèque Nationale, supplément turc 310.)
conquête arabe, soit, ce qui est plus vraisemblable, qu'il ait été copié sur un exemplaire datant de cette époque. Si l'on n'avait que le témoignage de l'auteur du Modjmel, on pourrait, sans même suspecter sa bonne foi, admettre qu'il s'est trompé, ou qu'il a été la vic-
1. Conservé aujourd'hui au Cabinet des médailles.