laissées en repos, les cheveux volant au vent en abondants flocons, les plis se cassant en tous sens, comme s'ils étaient en clinquant, il se dégage cependant quelque chose de triste et de douloureux, malgré les coquetteries de la Renaissance. Type de ce xve siècle, si troublé et si malheureux qu'il se prit à représenter le Christ à son image sanglant et nu, souffreteux et accablé de maux.
M. Paul Mantz, notre ami, nous dira quelles furent à la renaissance les joies du réveil. Pour nous, nous restons pour aujourd'hui sur cette image douloureuse d'une époque qui fut si grande et si complexe que les meilleurs esprits et les plus sincères ne sont point encore parvenus à s'entendre pour la juger sans passion, soit dans ses institutions, soit dans ses arts, qui seuls nous importent ici.
La suite ~t'oc/iattt~io)~.)
ALFRED DARCEL.