Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 113 à 113 sur 200

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Essais de sciences maudites. I / par Stanislas de Guaita

Auteur : Guaita, Stanislas de (1861-1897). Auteur du texte

Éditeur : G. Carré (Paris)

Date d'édition : 1890-1920

Sujet : Ésotérisme

Sujet : Occultisme

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb38891898q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol. (199, 573-16, 847 p.) : ill. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 200

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k202959v

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 97%.


firmation nouvelle de notre théorie. Il est évident, pour tous ceux qui possèdent quelques notions ésotériques, que les quatre branches de la croix intérieure (ngurée par le Christ les bras étendus) doivent être marquées aux lettres dutétragramme Iod., /~e, vau, Ae. Nous ne saurions revenir ici sur ce que nous avons dit ailleurs' de la composition hiéroglyphique et grammaticale de ce mot lyse dans la synthèse. Et 10 est le chiffre correspondant à Iod ce qu'il fallait établir.

Le vocable hiérogrammatique Q"~ représente donc l'évolution nonaire du cycle émané de et qui se clôt en 10, en retournant à son point de départ, Principe et Fin de tout, Iod éternel, révélé dans sa forme d'expansion lertriune. Allons plus loin.

Nous avons donc le droit (en notant d'ailleurs qu'Adam diffère de Iod ou de Wodh comme l'ensemble des sous-multiples diffère de l'Unité), nous avons le droit de dire, poursuivant nos analogies

Si Adam est égal à 7,

Adam-ah = I-ah, Et Adam.-eoë = 7-ëoë

Hé i1 représente la Vie universelle, la Nature-naturante; i D'' représente donc uni à la vie, et nn* Adam uni à la vie. C'est à deux degrés différents (en tenant toujours compte de la distinction notée plus haut), l'union de l'Esprit et de l'Ame universels.

Enfin, en *)T!~ comme en Dirra* t~M 1 figure la fécondité de cette union, et le dernier n symbolise la Nature-na<Krëe (issue de la Nature-naturante engrossée par le Principe mâle).

Les quatre lettres de nifT' figurent le ~M6[~eyH<Kre de Merc~o~A; les six lettres d'ni'rQIK, le s<~Mtre de BercBs/n' S. DE G.

Au seuil du mystère, page 34 de cette édition. Lotus, tome II, n" 12, pages 321-347, passim.