firmation nouvelle de notre théorie. Il est évident, pour tous ceux qui possèdent quelques notions ésotériques, que les quatre branches de la croix intérieure (ngurée par le Christ les bras étendus) doivent être marquées aux lettres dutétragramme Iod., /~e, vau, Ae. Nous ne saurions revenir ici sur ce que nous avons dit ailleurs' de la composition hiéroglyphique et grammaticale de ce mot lyse dans la synthèse. Et 10 est le chiffre correspondant à Iod ce qu'il fallait établir.
Le vocable hiérogrammatique Q"~ représente donc l'évolution nonaire du cycle émané de et qui se clôt en 10, en retournant à son point de départ, Principe et Fin de tout, Iod éternel, révélé dans sa forme d'expansion lertriune. Allons plus loin.
Nous avons donc le droit (en notant d'ailleurs qu'Adam diffère de Iod ou de Wodh comme l'ensemble des sous-multiples diffère de l'Unité), nous avons le droit de dire, poursuivant nos analogies
Si Adam est égal à 7,
Adam-ah = I-ah, Et Adam.-eoë = 7-ëoë
Hé i1 représente la Vie universelle, la Nature-naturante; i D'' représente donc uni à la vie, et nn* Adam uni à la vie. C'est à deux degrés différents (en tenant toujours compte de la distinction notée plus haut), l'union de l'Esprit et de l'Ame universels.
Enfin, en *)T!~ comme en Dirra* t~M 1 figure la fécondité de cette union, et le dernier n symbolise la Nature-na<Krëe (issue de la Nature-naturante engrossée par le Principe mâle).
Les quatre lettres de nifT' figurent le ~M6[~eyH<Kre de Merc~o~A; les six lettres d'ni'rQIK, le s<~Mtre de BercBs/n' S. DE G.
Au seuil du mystère, page 34 de cette édition. Lotus, tome II, n" 12, pages 321-347, passim.