Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 66 à 66 sur 433

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Souvenirs d'un vieux zouave. 2 / par M. Blanc

Auteur : Blanc, Alphonse-Michel (1812-19..?). Auteur du texte

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1880

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb301099246

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : 2 vol. (438, 430 p.) ; in-18

Format : application/epub+zip

Description : Collection : Collection Saint-Michel

Description : Collection : Collection Saint-Michel

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k166077b

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LK8-1167 (2)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/01/2011

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 100%.


grand nombre trouvèrent la mort dans les précipices en voulant évites nos baïonnettes. Bien que la journée fût restée à nous, le Gouverneur, disait-on, n'était pas content de la manière dont le colonel avait conduit cette affaire. Il est vrai que personne de nous n'avait reconnu la vigueur ca l'i ntclligence habituelles de M. Leflo dans ce combat de Chaffaïa.

Quelques jours après, nous fimes jonction avec la division deMascara, et le Gouverneur passa la nuit en conférence avec M. le géné-ral de Lamoricière. Séparées de nouveau le lendemain, les deux colonnes agirent contre les Flittas,qui,rasés par M. de Lamoricière, se rejetèrent sur le Cheliff. Le Gouverneur prévenu, marcha aussitôt contre eux et leur enleva 7,000 tètes de bétail; puis, sachant que les Kalifas que nous avions battus le 3 à Chaffaïa n'étaient pas encore sortis de l'Ouerensenis, il se mit leur poursuite et les chassa devant lui jusqu'aux confins du désert.

Le besoin de reprendre haleine, celui plus impérieux encore de donner des vêtements aux soldats, nous ramenèrent à Orléausville. Pendant cette marche, nous nous irou― vâmes, le 11, dans les montagnes des Findges.