Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 400 à 400 sur 433

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Souvenirs d'un vieux zouave. 2 / par M. Blanc

Auteur : Blanc, Alphonse-Michel (1812-19..?). Auteur du texte

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1880

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb301099246

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : 2 vol. (438, 430 p.) ; in-18

Format : application/epub+zip

Description : Collection : Collection Saint-Michel

Description : Collection : Collection Saint-Michel

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k166077b

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LK8-1167 (2)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/01/2011

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 100%.


à la guerre. Comme cependant son influence ne pouvait plus se faire sentir directement, toutes les fractions de cette tribu vinrent payer l'impôt, excepté les Beni-Bousi, dont le pays s'étend jusqu'aux derniers sommets duDjurjurah.LesBeni-Bousi se croyaient à l'abri de nos coups, parce qu'ils s'étaient réfugiés dans trois villages considérables, situés au delà d'un ravin impraticable; le gouverneur, ayant faitporter des obusiers sur les crêtes, les couvrit d'obus et de balles tirées par les grosses carabines à tige de l'artillerie, et les villages furent incendiés.

La colonne se porta ensuite chez les Flissas ceux-ci, ayant vu du haut de leurs montagnes l'incendie qui venait de détruire les villages ennemis, s'empressèrent de venir acquitter les conditions de la paix, et cette affaire de la Kabylie qui se présentait sous de sombres couleurs, se trouva terminée d'une manière heureuse, grâce à la manière dont M. le général Pélissier sut la mener et à la constance dont les troupes firent preuve dans des circonstances excessivement difficiles.

Lo 29 novembre, le gouverneur général ,par intérim rentrait a Alger, et les troupes regagnaient leurs garnisons.