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Titre : Paris au temps de saint Louis : d'après les documents contemporains et les travaux les plus récents... / Louis Boutié

Auteur : Boutié, Louis. Auteur du texte

Éditeur : Perrin (Paris)

Date d'édition : 1911

Sujet : Paris (France) -- Histoire

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34217112f

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (V-408 p.) : pl. ; in-16

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Format : application/epub+zip

Description : Collection numérique : Fonds régional : Ville de Paris

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1651281

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LK7-37366

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/01/2011

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permise que trois fois par semaine. En dehors des jeûnes prescrits par l'Église, il y en avait d'établis par la règle tous les vendredis, du 14 septembre à Pâques.

La nourriture des pauvres devait être aussi bonne que celle des religieux et même plus soignée et plus recherchée, si leur état l'exigeait. Des donations étaient faites pour permettre de distribuer aux malades les mets qui leur feraient le plus de plaisir.

Ces malades étaient réunis dans une grande salle voûtée, supportée par des colonnes, comme une nef d'église. La chapelle était sous la même voûte. C'était vraiment la Maison-Dieu, abritant sous le même toit Jésus-Christ, et ses membres souffrants.

Les lits étaient séparés par des rideaux ou par des boiseries formant des sortes de cellules. Un balcon régnant à une certaine hauteur le long du mur permettait de surveiller l'ensemble de la salle.

On a critiqué avec raison l'usage assez général alors de mettre plusieurs malades dans un même lit. Mais le lit séparé n'était pas inconnu et même, en cas de maladie grave, était le seul employé.

Dans ces hôpitaux du moyen âge les malades trouvaient quelque chose de plus précieux