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Titre : Paris au temps de saint Louis : d'après les documents contemporains et les travaux les plus récents... / Louis Boutié

Auteur : Boutié, Louis. Auteur du texte

Éditeur : Perrin (Paris)

Date d'édition : 1911

Sujet : Paris (France) -- Histoire

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34217112f

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (V-408 p.) : pl. ; in-16

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Format : application/epub+zip

Description : Collection numérique : Fonds régional : Ville de Paris

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1651281

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LK7-37366

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/01/2011

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chasteté Irréprochable. Ils sont très enveloppants, aisés et tendent à laisser aux formes du corps leur apparence naturelle. Aux habits somptueux, chargés de broderies, d'orfèvrerie et de joyaux, aux robes serrées, gênantes, on voit succéder, au XIIIe siècle, un vêtement simple, commode, à peu de chose près commun a toutes les classes et qui tire toute sa valeur de la façon de le porter. Suffisamment ample pour ne gêner aucune partie du corps, mais non par trop pour embarrasser le mouvement, il est simple et gracieux. La mode ne se livre à aucun de ces écarts si fréquents depuis. »

Pendant cette période, les hommes ne laissent pas croître la barbe. Les cheveux, ni trop longs ni trop courts, sont entretenus avec grand soin. Le cou est découvert. Les jambes sont passées dans des chausses qui, en les préservant des intempéries, n'en dissimulent pas les formes et n'en gênent pas les mouvements.

Les clcopeliens de fleurs faisaient des chapeaux de fleurs, simples couronnes de verdure, ornées de fleurs naturelles, dont la jeunesse des deux sexes aimait à se parer dans la belle saison. Les chapelier de paon employaient les plumes de paon comme aujourd'hui on emploie les plumes d'autruche.

Les chapelières d'orfrois, sortes de mar-