Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 32 à 32 sur 313

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Les soirées amusantes ; recueil nouveau et varié d'historiettes curieuses, piquantes anecdotes...

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1874

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb33607178q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : In-18

Format : Nombre total de vues : 313

Format : application/epub+zip

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k164998n

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-60921

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 28/03/2011

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98%.


Oh oh dit le premier président, voilà un homme difficile à contenter que te faut-il donc ?

Eh 1 monseigneur, comment voulez-vous que je m'en aille à Valvins ? on m'a amené ici en charette, et je ne sais pas le chemin.

Le premier président, tout en riant de sa naïveté, dit qu'on le menât au port Saint-Paul, qu'on le fit embarquer, et qu'on lui payât sa route: « Va, mon ami, tu arriveras le soir à Valvins. » Nouveaux remerciements d'abord, et puis nouvelles complaintes: Ah mon Dieu! qu'est-ce que je vais devenir? Pour le coup, le premier président le crut fou. On lui demanda ce qu'il avait. — Hélas ma femme sait queje n'ai pas d'argent, et quand elle va me voir, elle croira que je me suis sauvé, elle aura peur. Le premier président lui conseilla, avec toute la bonté possible, de descendre chez un de ses voisins, et de faire prévenir sa femme, afin d'éviter toute surprise: et il le renvoya enfin satisfait. « Mais, disait-il, j'ai vu le moment qu'il faudrait le ramener moi-même à V alvins. »

Veillée militaire.

rendant l'invasion de 1814, les alliés envoyèrent un corps d'armée, Russes et Prussiens, bloquer Verdun. Cette place se trouvait alors sous les ordres du général C. forcé d'évaqaer Epinal et de se retirer à Verdun sur un ordre de l'empereur.

Les postes avancés de l'ennemi se trouvaient presque sous les miirs de cette ville, et il ne se passait