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Titre : Les soirées amusantes ; recueil nouveau et varié d'historiettes curieuses, piquantes anecdotes...

Éditeur : (Paris)

Date d'édition : 1874

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb33607178q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : In-18

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Format : application/epub+zip

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k164998n

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-60921

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 28/03/2011

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francs pour n'en rien faire, et qu'il fallait suivre l'avis de l'avocat. Lui-même donna l'exemple en se mettant à la tête des travailleurs, et en ne rentrant qu'après avoir ramassé tous ses foins.

L'événement sembla se charger de prouver la sagesse de sa conduite, car le temps changea pendant la nuit un orage inattendu éclata sur la vallée, et le lendemain, quand le jour parut, on aperçut, dans les prairies, la rivière débordée qui entraînait les foins récemment coupés. La recolte de tous les fermiers voisins fut complètement anéantie; Bernard seul n'avait rien perdu. Cette première expérience lui donna une telle foi dans la consultation de l'avocat, qu'à partir de ce jour il l'adopta pour règle de conduite, et devint, grâce à son ordre et à sa diligence, un des plus riches fermiers du pays. Il n'oublia jamais, du reste, le service que lui avait rendu M. de la Germondaie, auquel il apportait tous les ans, par reconnaissance, un couple de ses plus beaux poulets et il avait coutume de dire à ses voisins, lorsqu'on parlait des hommes de loi, « qu'après les commandements de Dieu et de l'Église, ce qu'il y avait de plus profitable au monde était la consuLte d'un bon avocat. »

lLa dix-septième lettre de l'alphabet.

La question la plus simple nous surprend quelquefois, et en voici la preuve

Un jour, un général inspectait un régiment d'infan-