Aide-de-camp. De qui? Du général Decaon. Où allez-vous ? Au camp. Oh 1 oh dit le brigadier, qui était un faiseur de calembourgs, il y a trop de cancans dans votre affaire, je vous arrête comme suspect. »
L'empereur de la Chine s'informait un jour auprès d'un Français du nombre des médecins attachés à la famille royale. — A. combien se portent leurs honoraires, demanda-t-il ? Cela n'est pas fixé, répondit l'homme interrogé, et qui du reste ne se trouvait pas là dans le centre de ses connaissances je crois que chacun d'eux a tant par an, et des gratifications honorables quand il a soigné un ou plusieurs de ces illustres malades. Eh bien 1 moi, répondit le monarque chinois, je trouve cette méthode fort mauvaise, et je ne m'arrange pas ainsi avec mes médecins je les paie richement à raison de tant par jour; mais sitôt que moi ou l'un des miens sommes malades, les appointements de nos docteurs sont suspendus jusqu'à guérison, et je vous réponds que, de cette manière, nous ne sommes pas longtemps malades.
Un parvenu, après avoir fait bâtir une chapelle dans son château, voulut la décorer de peintures. Il demanda à un artiste un Passuge dc la mer Rouge, et lésina ignoblement sur le prix.
Le peintre accepta néanmoins, et se contenta de tirer, sur le mur destiné à recevoir son œuvre, un large ruban avec du vermillon. Le parvenu, appelé pour voir ce chef-d'ceuvre, se récrie et prétend qu'on se moque