rie admissible, elle n'est valable que pour expliquer la naissance hâtive du deuxième enfant, la mère ayant été infectée pendant qu'elle portait le premier. Mais une fois sous l'influence virulente, comment a-t-elle pu de nouveau être contaminée à un petit intervalle une seconde, puis enfin une troisième fois? Ce serait démontrer l'existence des transmissions nouvelles pendant l'évolution d'une autre syphilis. Ce qui est toiit à fait contraire aux lois de réinfection des virus en général et du virus syphilitique en particulier. La formule est donc trop hâtive et trop absolue.