joindre tout au moins quelques travaux de sa profession, or Fargent était très rare, tes affaires chômaient, on ne bâtissait plus, on réparait à perne~ Et à François de Neufchâteau, auquel il pense â se rappeler alors, il écrit a Je suis actuellement déseeuvré: les arts du génie civil sont sans aliments )). Et il a.joute! « Vous avez connu le malheur. pbdgttez-moi; à peine l'épMootie m'avait-elle enlevé ma vache qu'une dyssentrie épidemique vient de me priver de ma fille unique, et laisse dans la désolation le plus dévoué de vos gouvernés ». Mais François avait suivi sa destinée et s'était étevé à une ham& fortune: s~t n'avait pas rebâti Paris~ il était maintenant membre du Directoire, et il ne daigna pas, répondre « au plus dévoué de ses gouvernés a;
Quel était le véritable but de cette lettre? On Fa deviné: Piroux pensait toujours à briguer quelque fonction. Comment n'y aurait-Il pas pensée –et plus que jamais, – avec 1~ difneuMâ de vivre? Et en attendant il éerivatt autre passion, qui ne l'avait pas quitté non plus, et que s~îls les évênemeNts avaient un instant calmé (l). Voici qu'elle Se révelliait, et de quelle étrange façon n*al!ait-e!]e pas se manifester cette fois.! Le plan de deMemte en Ant~etefre
En J~ la paix, une paix partielle, avait été signée à Baie, mais~ r l'At~gieterre surtout se dressait toujours~ iatraitaMe, contre la France~ de la Rjévolution. N'était-u donc pas possible d~en Snir une bonn-È fo& avec elle, et de M donner le coup mortel en portaM rinvasion jusqu'en son île, où elle se croit hors d'~ttemte? Là-dëa~ûs Pirou~ qui ne doute de Men, s~é9tge, en stratège, et rédige un ~'0~ <c~Hte eta- a II faut l'écraser, prodhme~t-il tout d'abord, de façon à ne plu& en entendre parler, comme il ne fut plus question de (~rthage après sa destruction. Pu!sque e'est~ son commerce et ses richesses qui la rendent si (i) Retenons à ~opos des écrits q)R datent de cette époque wi ~Mt aase? curieux:. (vme JouTn~ de ta SodM d~fehMoBte lorraine, tgoo. p. sj On trouve <taM te catatogtte d~ !~H&<'a!n& Citadin, pour .t~a, le natn&& sutvMttï > 94.M& – OpnscHie poMqae de Pyroax (I~ff~ de Ltn-nM~, ex-fattstœ, exnoble, ex<gendarn!e, ~X-JacoMa, ex-MtsmaaaifB d'CM&ms, ex-eré~Ment du Comité fêvotutîotm~ure de Lunéville. ~J:eus les M~rdustee de cette ville.
t.t Manuscrit dé 1'jpQq1)t\ révolutionnai trts curieux poètne anarchiste. qui t MMm~ertt de Mp~q~e revohtttonMure, tre$ carieox poëme aNarchist~ qu! débute par une sorte de ~rodie de !a ~Mr~t'~o~, et qaî eonHent en out~ des traits sanglants sur-les fevelùtifitutaife~ lorrains, avec leur n<)!n tout au long. » L'Mtear est sans doute Pierre Delorme, ancien gendarme du Roi, qui faafaMsatt de dMmfs et poésies « patriotiques B te~.révohtipMta~es de Lunéville (Gf~BEAC*M<M<~ op. <t~ p. ~3~ 482). Mais pou~tûo! ~it-H dans l'opuscule signate le nom de Pirottx pour pseudonyme, en lé mediSant tegerement? Mystère.