NowveMe* lorraines
Nos <:<tM<t6<M'at~M' A l'occasion du Congrès régional, des unions des Sociétés de Secours mutuels du Nord et du Pas-de-Calais qui s'est tenu à SaintOmer, le 30 juin, le Ministre du Travail a décerné la médaille d'or de la Prévoyance Sociale à notre collaborateur M. Gustave Ginsbach, président de la Fédération Nationale des Sociétés luxembourgeoises de Secours Mutuels. La revue T'<~ctn~ t'oor «<' PoH<tf (revue de police) qui paraît à Rotterdam, publie une traduction en hollandais d'un article de notre collaborateur Louis Sadoul: les bohémiens voleurs d'enfants, qu'a puMié le Pa~M lorrain.
Nos c~Mt~tt~MtM. I) y a quelques jours décédait, à Haroué, à l'âge de 52 ans, après une longue maladie, M. le docteur Voinot, ancien maire d'Haroué, chevalier de la Légion d'honneur. C'était un homme de bien, profondément attaché à la terre natale dont nul mieux que lui ne connaissait les traditions; il en contait les histoires avec verve en un savoureux patois. M. le docteur Voinot avait fait jadis dans les environs d'Haroue, d'intéressantes découvertes archéologiques dont il avait rendu compte dans les publications de la Société d'Archéologie lorraine.
Sur l'intervention de notre collaborateur Marcel Kneeht, M. Albert Blum, président de la Fédération des Alsaciens et Lorrains des ~tats-Unis, vient de fonder, à l'Université de Nancy, trois bourses de 10.000 francs chacune. Elles seront réparties entre les Facultés des Sciences et de Médecine et l'Institut Chimique.
– Près de 6.000 jeunes filles se présentent, paraît-il, chaque année, au baccalauréat. C'est en 1861, qu'une jeune nlle se présenta pour la première fois à cet examen. D'après M. L. Barhedette, c'était une Lorraine: M"" Julie-Victoire Daubié, de Fontenoy-le-Chateatt. La Faculté de Lyon l'accueillit, celle de Paris ayant refusé d'inscrire sa candidature. Plus tard, cependant, elle fut moins rigoriste et lui conféra la licence ès-lettres. M"' Daubié mourut en 1874, à Fontenoy, comme elle préparait son doctorat
JVa~tcy. – Un legs des plus importants, tant au point de vue de la qualité, qu'au point de vue du nombre des objets, vient d'être fait au Musée lorrain par M. Louis Ëdme-G&ucher, de Neufchâteau. Les sections de céramique, de sculpture, numismatique, préhistorique, gallo-romaine, d'art populaire, et la.bibliothèque se trouvent notablement enrichies. Finira-t-on par se convaincre qu'il convient de donner, dans le plus bref délai, des locaux au jMusée lorrain, afin que ses richesses puissent être dignement présentées et mises en valeur ? Nous engageons vivemént nos lecteurs à visiter l'Exposition de Nancy. Elle est en tous points réussie. Un reproche, et il ne s'adresse pas aux organisateur&t Pourquoi certaines industries lorraines n'ont-elles pas accordé leur participation? Il en est de même de certaines spécialités de chez nous. Par exemple en ce qui concerne la charcuterie il y a un Lorrain contre douze originaires d'autres provinces. Rien pour le vin et les eaux-de-vie. Petite remarque: pourquoi a-t-on laissé tsncrire partout A~Mtc~M (à la parisienne) au lieu de ~VfMcetM.~
Co~tMK' ~<M-nMtt. – Les Lorrains de Strasbourg ont élu une reine. Son portrait est donné dans Le ~M~K'~ de Paris. C'est une charmante personne, mais quels singoUers .oripeaux elle a revêtus. Ils n'ont'aucun rapport avec « le eos-