t IV ÎL E DBV X !.B S ME D E'.LA~ vous diray, Madame, qu'encore que pour Fa.! larme, les portes de ta ville furent fermées, fi les forcerent-ils ~ans perdre vn féul homme, quoyquelegoùuèrneur, quien fin y'rut tue; ynittoùtetâ refiflance qu'il peut. Ainfi voi]à Clindor fàuuc, & Alaric aduerty que c'eAon mon père qui auoit fait ce~eentrepnfe;c!equoy il fe fentit tant orrenie, qu'il en demanda a juft.iceaAmafts, & e!!e.quinevouloitperd):e fon amidé~arFecHonna beaucoup pour le coa~ tenter, & enuoyaincontinentpour fe faiur~e mon père mais les amis l'en âduenirent 3 ` propos, qu'ayant donné ordre à fesarcaires.it il .iorm hors de cefte contrée, & piqué contre Alaric plus qu'il n'eli pas croyable.f'atia mettre auecvncnanon, qui depuis peu eftoit entrée en nos Gaules & qui pour eiftre~ beHiqueu:ie, fe~oit ifaine des deux bords du Rofhe & de rArar,&: d'vne partie des Alobroges.Etparce que denreux d'agrandir leurs terres, ils raifbiec continueHemet!a guerre aux Vingoftz.O~rogotts &: Romains, H y fut trefbien receu auec ions ceux qu'il v voulut conduire, & efiant cogneu pour homme de valeur, fut incontinant honore de diuerfes charges. Mais quelques an~ceseftanteicou!ees, Gondioch Roydece&e nation venant à mourir, Gondebault fon fils fucccda à !a Couronne de Bour~on~ne, & de~n'anrd'aneurerlësafraire:dés le commencement, fit la paix aueciesvoif'ns,mariantibn 6kS]gifmondauecvne des filles de Theodo.cicR.oy des Ofb:ogoltx:& pour complaire j à