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Notice complète:

Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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pour fon mary,defbrte que Pi! vpuioitefpou-. ~er Amerine il feroit remis en liberté, & pourroit viure a.uec eue. Luy qui nela connpiuoic point fetrouda fort empelche à leur refpodre: toutefoisne voyant autreremede d'échapper du danger oui! eÛoic, die promif, efperanc que le-temps luy apportpr.oi[ quelque expedienc pour fortir de ce labyrinthe. Amerine qui auoitconnours reconnu Lydiastacamoureuxd'e!Ie,ne fut pas peu edormee d'vne fi grade rroideur tourerbis iugeâht que t'erR'OY du danger ou H a.uoit e<té,!e rendait ainf! hors de !uY,e!!e en eut plus de pitie,<Sde mena chez !a mère de Lydas, qui eftoic ceUe qui auoic procure ce mariage, Icachant qu'il n'y auoit point d'autre remède pourfauueribn n!s, ou-< tre qu'eUe n'i~noroit pas l'Amour qui eu:oit entr<eux,cequi luyraifbitpreuerla conclufion du mariage, le plus qu'it luy eftoit ponlbte, penïantpl!ai.re a_fbn 6ts. Mais au contraire c'efcoit anancer la mort de celuy qui n'en pou" uoic maits.'He,mon cherMaiih'e,quandie me feubuuiens des dernières paroles que vous me di(tes,ié ne icay comme il eft postale que ie viue! Toutes chofeseu:oientpren:espourîema-< Mge, &:fal!oit que le lendemain il le para<'heua(t,quand}eioirii me tira a part, & me dtc: Egide mon amy, vis tu jamais vne iemMabte fortune a celte-cy, que l'on mevueit!cfairecroirequeienef:us pas moy-mefme? Seigneur, luy dis-je il me femble qu'elle ~7

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