pour fon mary,defbrte que Pi! vpuioitefpou-. ~er Amerine il feroit remis en liberté, & pourroit viure a.uec eue. Luy qui nela connpiuoic point fetrouda fort empelche à leur refpodre: toutefoisne voyant autreremede d'échapper du danger oui! eÛoic, die promif, efperanc que le-temps luy apportpr.oi[ quelque expedienc pour fortir de ce labyrinthe. Amerine qui auoitconnours reconnu Lydiastacamoureuxd'e!Ie,ne fut pas peu edormee d'vne fi grade rroideur tourerbis iugeâht que t'erR'OY du danger ou H a.uoit e<té,!e rendait ainf! hors de !uY,e!!e en eut plus de pitie,<Sde mena chez !a mère de Lydas, qui eftoic ceUe qui auoic procure ce mariage, Icachant qu'il n'y auoit point d'autre remède pourfauueribn n!s, ou-< tre qu'eUe n'i~noroit pas l'Amour qui eu:oit entr<eux,cequi luyraifbitpreuerla conclufion du mariage, le plus qu'it luy eftoit ponlbte, penïantpl!ai.re a_fbn 6ts. Mais au contraire c'efcoit anancer la mort de celuy qui n'en pou" uoic maits.'He,mon cherMaiih'e,quandie me feubuuiens des dernières paroles que vous me di(tes,ié ne icay comme il eft postale que ie viue! Toutes chofeseu:oientpren:espourîema-< Mge, &:fal!oit que le lendemain il le para<'heua(t,quand}eioirii me tira a part, & me dtc: Egide mon amy, vis tu jamais vne iemMabte fortune a celte-cy, que l'on mevueit!cfairecroirequeienef:us pas moy-mefme? Seigneur, luy dis-je il me femble qu'elle ~7
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