snecres-enfehdu~ tidît que quand !e grand Dieu forma toutes nos ames,il les toucha cha cuneauecvnepiece d'aythaht, & qu'après mit foutes ces pièces dans yn lieu parc &: que de mefm~eMes des remmes apres les auoi)-touchées, les terra en vn autre magaxinfepare Que depuis quand i! enuoye les ~mesdans!es corps, il meine celles des remmes ou îont les pierres d'Aymant qui~oat ïouche ceUes des hommes, & ceUes des h ommes ~ceHcsdes~mmes, & leurenta.itprettdre vue à chacune. S'il yades an~es larronnetL fes, e!!eseiRprehùent ptuHeurs pièces qu'e!ies cachent: H auient de !â qu'auiE toft que l'ameett dans lèporps, o~qu~etie rencontre ce!- le qui a fon ayman:, iUuy efHmpoSiMe qu'el- le ne raime,&d'icyproceden!: t&us les erFets del'Ainotir car quant a'ceHes quiïbntay-. mees de piuSeurs c'eu: qu'eltes ont efté larron ne'ïes &: en ont pris pluGsurs pièces. QMntaceUequiatme quelqu'ynquine i'ay-Ne point, c'eft que celuy-là à lonaymanr, &iion pas elle le uen. On luy ne pluueurs oppoutions, quand il difbit ces chofës, mais itreipondoit fort bien à toutes, entre amres isluy dis .mais que veut dire que quctque~ois vn Berger aymera pinceurs Bergeres? C'en:, dit-il, que la-piece d'aymanr qui le toucha, eKaiï entre les autres, lors que Dieu !escneua,(ecauà,&:efhnten diuerfes pièces, ~on:es celles qui en ont,attirét cefte âme. Mais. surprenez garde queces pcrfbnnes quifonc. c r
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