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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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LiV~EDIXtESMB pS.LA' ~( nulle forte de vertu qi'i fe foie pu exempter de l'Amout La chaftetemeftne ne l'aveu faire, MrmojnEndimion.Vpy, ditincontinencSyt. nie, pourqnoy, otageAd.tmas, m'auez-vous pretagea.nc vn grand défaire C'eH: a<in,()itil, que vous vous armiez contre les forces de ce Dieu, de peur que vou~ileurant trop en !op[nioc)ece(]uevou!)ugPzirAjip<Hb)e:voùs ne iûy~~ furprife aua!: que de voSs y eftre préparée. l'ay ouy direque Ceiadoti cft: f] beau,tt fi' difcret&~ accompjy,qu'il neluy deSam nul.1e des perreû.ions nui ~on.aimef ;h ccia eft,i) yadudanget d'autant: que tesrrahifbnsd'Amourfonrh di~cilcs~dcpouurir, qu'i) n'ver~ a eu encor vn (cui: qui l'ait peu ~ire. JLaMIez m'en )apeinc-, dit- eHe, & voyez feulement ce que vous vendez que ie ~(~cen ccca~xue dot nousaù5s discouru.Il meiembl.e,dic!e Dp)ide, qu'il faut que ce(te guerre fe ta He à l*CEit,& quand j'aurayveu comme va le monde, nous: d]fpo(frQsdc~a.r&ire~ au moins mal qu'il nous .&rapofn'o!e, & cependanrtenons noftredeC~ein ieçrec. t,a de~s Sy!uie!e fa.ifla repofer,& vint rerrouuer Ga!athée, qui attec Leonide eftoit près du lit de CeLtdon carayant fceu <;[u;He.ftoi:etnei))e, enesn'auoicnrpunyi'vne ny!'a;ucre retarder danarage de ~e voir. LescarefIesqtrttJi~Lecnidenefurent pas petits' carpouria .co~rtp~fie dont .eHe. t obli~eoic, il i'aimoi!: &: eÏUmï)it beaucoup, quoy que t'huïneur de Sytuieluy.pleuftdauantage. Pe~ après ils entrèrent: .en discours d'Adamas~ `