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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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«Toaueïner fous elle à tontes fes Prouinces, jufques à la venue defon fils; ce qu'elle fit,tant pourfacisfaireà ces deux grands perfonnages, que pour les fcparervn peu car depuis le retour de Lindamor ils auoient coufiours eu quelquegique ensemble fuft que rien n'eft defifecret Tqui en quelque forte ne fe décotiure, 8c qu'à cefteoccafion Polemaseuft quelque vent que ce fuit luy contre qui il auoit: combattu, ou bien queTAmour feul en fuft la .caufe. Tanty aqxae chacun cosnoiilbit bien le peu de.jbonne volonté qu'ils fe portoient. OrPoiem^s (icmeuroit fort content, & Lin» damor ïiefen alloitpas rnal volontiers, IV» pourdémeur«,pres delà MaiftrelFe, & î'àurtrepouraupiroccafipnjfaifantfèruice à Amafis de fe V q^liger,efperantpar cefte voye defe faciliter le chemi au bien auquel il afpiroîr. Mais Polernas qui connoiflbk l'oeil corn bien il eftoit défaùorifé & combien au rebours foa .riualreçeuo,it<i« fauéurs, n'ayant guiere d'çfperance, ny en £gs feruices ny en tes merices^ xecourut aux artifices. Et voicy comment U sppoftevn hornme; mais vn homme lé plus fin ,&lepkis rufé qui fuit jamais enfonmer. âier,à quifans le faire recprmoiftre à ^etfofh nedelaCour, il fit fecreîtement voir Amafiî, Galathée Syluie Silere raoy. & toutes <es autres Nymphes & npa feulementieuc fliodra le vifàge3mais luy raconta tout ce qu'il ^çauoic de route* voire des chofes plus fecret^s,doaccpme vjieil cotirtifan,il eftoit bien in-