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mort. Sije vis (difbit-i!) comment eA-iIpoSblé que la cruauté d'AArée ne me Face mourir? Et fije fuis mort,qu'en:-ce,ô Amour.que tu vies chercher entre ces ténèbres ? ne te contentes-tu point d'auoir en ma vie; ou bien veux- M dans mes cendres r'aUumef encores tes anciennes na.mes'Etparceque le cuii~ntrbucy qu'Aftreeluy auoitîaidë, nel'ayant point abandonne,appetloit: counours a !uy toutes lespenfeéï, il continua.Et vous trop cruel fouuenir de mon bon heur pa.ne,ponrqnoy me feprefeniez vous le defplaiur qu'eue euft eu autrefois de ma perte, afin de rengreger mon malventa.b!e,parle ilen imaginé', au lieu que pour m'atieger vous deuriez pluftoft me dire le contentemêt qu'elle en a pour [a haine qu'elle me porte? Auecque mille lèmblables imaginations,ce pauure Berger ~er'endormitd'vn fi long fommeit, que les Nymphes eurent!oifir de venir voircommei! fe portoit, & le trouuant endormy, elles o.uuri~ rent doucement les fenêtres & les rideaux, & f'aulrenc autour de luy pour mieux le contempler.Galathee apres t'anoir quelque teps coude p,fnt la premiere qui dit d'vne voix baffe,pou:' ne l'eueiUer: Que ce Berger eft chagé de ce qu'il eftoit hier,encorne !aviue couleur du vidage iuy eflreuenuëenpeude temps; quantà moyjene plains point !a peine du voyage, puis que nous luy auos ia.uuela vie: car à ce que vous dites,ma mignone,(dit-elle,fadrenant Sihlie)i! en: des principaux de cède côtree. Madame refpondit la Nymphe, il en: tres-cemin car ion pere eft:~