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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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L'tV~E HVÏTIESME DB LA

qu'elte mefme me porcoit, &: qu'eue ccunroi~ presque toute auec la main, feignat dela con. ieruer du vent nous fbrtiGnes en foute,~ j'eÇchappayainfiheureufement de ce da.nm[ pa.)'~cour[oi~e; & pour mieux medeguifer &uŒquej'~uoisenuie de (c~uoir a qmj'~ uois ce~e obligation, ie m'en alay pariny les autres jufquesalon logis.

Mais, belle Bergere, dit-elie~&dre~nt~ Diane, ce discours n'eft pas encore h moitié &ilmeiembleque le Soleil eft couche ya long temps', neferoit-il pas plus à propos d'en temettre !a. fin vne autre fois que nous au. rons plus de loinr 3 Vous auex raifbnjdit-eitc, gemilBerger.il ne faut pas defpehdre toutfon bien à la fois, ce qui reH:e à fcauoir nous pourra encores faire couler vue agreable iournee: Outre que PariSjquidoitencorpauer la nm6.re, ne icauroit arrefter icy plus long temps ~nsfemettrea!anuit.IIn'yarien,dit-H,bci. ie Bergere, qui mepi-nile incommoder quand ieiutspresdevous.Ievoudrois bien, refpon.dit-elle, qu'il y euf!: quelque chofe enmo~ qui vous tud agréable, car voftre merke & ~oRrecourtoiae oblige chacun à vous rendre toute forte de feruice. Paris vouloit refondre mais Hylas l'mterro~pic en tuy difan:. PleuH à Dieu, gentil Paris, que ie fuiïe vous, & que Diane fut PhiUis, ëe qu'elle me tintce langage. Quand cela leroit, dit Paris .vous ne luy en auriez que tant plus d'obligation. Iteit vray, dit Hylas, niais ie ne craindray jam~