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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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que vous ne pouuez payer cefte faute qu'auec la perte de vofh'e vie ? ï! faut dire la vérité, quoyqueiefceuuequ'ilyauoit quelque cha. (timent ordonné, fi ne penfois-je pas qu'il fuft tel,dontienefuspeu edonné, toutefois luy feprefentant que j'eSois ettranger, &: que ie ne (cauois point leurs flatuts, elle prit pitié de moy, & me dit, que dés le commencement, elle y l'auoit bien reconnu, & qu'il falloit que ie fceuile qu'il eftoit impomble d'obtenir pardon de cefte faute, par ce que la loy y eftoit ainfirigoureufe pour oirer de ces veilles, tous les abus qui Py ~ou!oieni comettre. Toutefois que voyant queie n'y eftois point allé de mauuaifeintention, elle feroit toutcequiluyferoit poffible pour me fauuer Et que pour cét eScnl il ne falloit pas attendre que la minuit fonna.H:, car alors les Druides venoiet a ta porte ~uec des flambeaux, & les regardoient toutes ai vifage Q~a cefte heure la porte du Temple efroit bien fermée, mais qu'elle ef~yeroit de la faire quurir: &: lors me mettant vnvoiiefur !a te(te qui me couuroit~utques aupres des hanches, elle m'accommoda mon manteau par deftous, en telle forte qu'il eftoit mâLaiféde reconnoidre la nuiL fi c'efloit vne robbe m'ayant ainH équippé, elle dit ~t quelques-vnes de fes voifines, qui etioient venues .s Mec elle, qu'elle fe trouuoit mal,& toutes enfemble Pen allerent demander la clef a la plus vieille de la trouppe &: nous en allant entem~'e a la porte auecvne petite bougie fëuletnëtj