!LlV!LEHV!TtESMEDBX~ nement, &: quant à la lettre que vous me pr~ fentez, ie ne feray point de dinicultë de la pré. d rë, ayant de fi bonnes détentes contre fesa[. mes, que ie n'en redoute point les coups. A ce mot dcpiiant ma lettre, elle laleut tout haut; ce n'e~oiten fin qu'vneaflëurancts de moMaf~ fed.ion, parlecongé quej'auoisdpnnea Ca[. Us a conuderarion 6e vne tre~humMefup. plicatio de me vouloir aimer:ÈUefbun'it après l'auoir leue, &: fadreuant Hetmante luy demanda filvouloit qu'elle menf): refponfe, & îuy ayantretpondu qu'itle deurqitpau!onnement,el!e]uy dit qu'il euu: vnpeudepatiencej& qu'elle Falloit efcrire, eUe eâoiE telle. R.ESPÔNSE DE STILLIANE A H Y L A s.
Y L A s, voyez rciM~w~ T/CJ </<J', TC~ T/C~'& que ~C/i! ~f~~p~ <~ C~~ 'Lw~<t~~ (y y ~C~~ t~~ <Ï ~<?~ ~< <M~ ?~ ~c~'f C<! F<?~ dit'tes veritable que T~C~ W~f/</?~ y<° jc~c ~s~c/j~c ~wfy~, w~ ~<y ne mens M! vous ~f ~fW~(~~f~P~f&~ ~p~- ce <f~c~ ~/<<~ de