î.t~H.EHVttTESMEBE'EA l "tE JtvrTIESME D. tA 'aie Hylas, que ie n'ay point aimé jufques ic"! &: q'.l'a.y-je'doac fait auec Carlis Amar~nïhe, Laonice & tant d'autres? Ne ifçan~ ~ouspas,c)it Syiuandre, qu'en toutes fortes d'ans il yadespeT~bnnesqui Les font bien &: d'autres mal'? JL'Amour ef~ de meHT)ë car otl à peut bienaimer, comme moy,&:ma[ aimer comme vous, Se ainfi on me pourra, nommée inatHre & vous broutilon d~Amour. A ces derniers mots,.i!n'yeutceluyq).u puft fempefcherde rire, Gnon Lycidas, qui oyant ce t[ifcdt).'s,nepouuoitque.tetbrn6erd'auanM~ ge en fa jalouse de laquelle Phiitis: ne (e prendit garde, croyamdeiuy auoir rendu de ~1 grandes preuuesdeibnamnié, que par lah foniln'en deuokpius douter; Isnora~Ee,qui ne ~aupirpasquel~jaloufteen AMnour,eAYM. ~rejecron qui attire pour fby lanornture qui. ~doic aller aux bonnes branches, & a.ux boM. "fruits,&:quip!use!!eef):grand.e,plus aufE '°monn:re.t'e!!e!aferii!iteduUeu,S:ia.fQrcede. °'iap!s.nte. Paris qui admiroit le bel efprit de Si!uandre,ne(~auoit queiu~erdetuy, &iuy. ~embloit quefii.eu~ eccé nourry entre les persones ciLulir~es.i! euft: ef!:e fans pareil, puis que viuant entre ces BergMs.iI eAoit têt, qu'i! ne cognoifloit rien deplus gentil: ceIafutcMie qu'il rcibiut de faire amitié auec !uy,ann de jouir p!us librement de fa compagnie,& pour Jes faire difpMrer encore, il fadreffa à HyJa!, ~Iuydi[,qu'i!faloitauouerqn'i!auôitpr]svnmsuuais party, puis qu'il eti eftoit demeure