manitc,!nydohnadel'eïpeeiuriebras,dete!!e force qu'il le luy détacha dn corps, & elle pK& que en meime temps de douteur mourni, tomba entre les pieds defbn chenal, qui broncha fi lourdement: que fon maigre eut aftex d'aHaire a fen depettref. Et par ce que Fitidas en mourant fit yn grand cry, nommantfort hn.ut FiJandre iuy qui efloit auprès i'omt, & la voyancenfipifeuxëtt.at:, en eutvn f: extrême dêpiainr'mais plus encores quand itvidcebar. bar&, l'étant démeflé de~)!l cheua!,me courre aprexrefpée en la main;& moy comme ievous difbis~&depeur &:d~ la courfe que j'auois faite, ME: horsd'haiHuequeienepouuoisprdque mettre vn pied deua.nt l'autre. Que deuintcepauureBerger ie ne croy pas que jamais Lyonneàqui'tes petits ont efte dérobez; lors qu'elle voit ceux qui les emportët, ~e~ançaft plus !egerEment-.apres eux, que le courageux Filandre apres ce cruel. Et par ce qu'i! eitoic charge d'armes qui l'empefchQientde courre,m'atteignit aHez toft & d'abort luy cria, ce~z Gheuafier, ceuez d'outrager dauantagecelfequi mérite mieux d'être adorée, §e par ce qu'il ne farreftoil point, ou fuft que poureRreen fuirie il n'oyoir point Ta voix ot) que pour eftre ettranger.iln'entendoit point fon langage: Filandre mettantvne pierre dans fa fronde ;iatuy ~ettad'vnefigrandeimpetuoutc, que le Frappant à la re(te fans les armes qn'it y portoit il n'y a point de doute qu'il l'etut tué de ce coup, qui fui te!, que l'eârauget