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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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manitc,!nydohnadel'eïpeeiuriebras,dete!!e force qu'il le luy détacha dn corps, & elle pK& que en meime temps de douteur mourni, tomba entre les pieds defbn chenal, qui broncha fi lourdement: que fon maigre eut aftex d'aHaire a fen depettref. Et par ce que Fitidas en mourant fit yn grand cry, nommantfort hn.ut FiJandre iuy qui efloit auprès i'omt, & la voyancenfipifeuxëtt.at:, en eutvn f: extrême dêpiainr'mais plus encores quand itvidcebar. bar&, l'étant démeflé de~)!l cheua!,me courre aprexrefpée en la main;& moy comme ievous difbis~&depeur &:d~ la courfe que j'auois faite, ME: horsd'haiHuequeienepouuoisprdque mettre vn pied deua.nt l'autre. Que deuintcepauureBerger ie ne croy pas que jamais Lyonneàqui'tes petits ont efte dérobez; lors qu'elle voit ceux qui les emportët, ~e~ançaft plus !egerEment-.apres eux, que le courageux Filandre apres ce cruel. Et par ce qu'i! eitoic charge d'armes qui l'empefchQientde courre,m'atteignit aHez toft & d'abort luy cria, ce~z Gheuafier, ceuez d'outrager dauantagecelfequi mérite mieux d'être adorée, §e par ce qu'il ne farreftoil point, ou fuft que poureRreen fuirie il n'oyoir point Ta voix ot) que pour eftre ettranger.iln'entendoit point fon langage: Filandre mettantvne pierre dans fa fronde ;iatuy ~ettad'vnefigrandeimpetuoutc, que le Frappant à la re(te fans les armes qn'it y portoit il n'y a point de doute qu'il l'etut tué de ce coup, qui fui te!, que l'eârauget