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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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Or,be!!es Bergerës,jufqnes icyce~erech~ che ne m'auoit guere rapporte d'amertume tnais, he)as c'en: ce qui fen enfuiui): qui n~ tantfaitauaiter d'abtinrhe, que jfjfqn'au cercueil il ne faut pas que j'eipere de goutta qu~que doucpu.r, Il aduint pour mon mal. heur, qu'vil eâmngerpatÏancparce~e Contrée mevidendotmieittâfoncaiue des Sicomores, oùla.ffaifcheuf de l'ombrage, &: le doux Mzouiltement de l'onde m auoient fur !e hat)E dujour&ilbt.ipie. Luy, quelabeautedutieu 'aucitactiré pour parler l'ardeur du midy, n'eut plutoft jette l'ceii fur moy qu'il y rcmamm q~quechofe qui !uypleuû. Dieux que) hom. me,ouptutoftque!mon~reeRoit ce 'II auoit le vifage re)uifantde noirceur, les eheueuxncourcis&meflez comme!a!&inede nosmou< tons, quand tin'yaou'vn mois ou deux qn'ca Ïesarondu!. La barbe 9 petirs bouquets daitementefpancheeaucour du manton, le nez ap!ary entre les yeux & i'ebauffe &:)argep~rfë bout,)a. bouche groflejes leures renuerfées, &rprefque fenduës fous lenez: mais rien n'e. iloicnefcrangeque fes yeHx:caren[outieMïas;ei!n'yparoinoi!:ncnc)e blanc, quecequit en decouuroit quand il les rouioic dans !i refte. Ce bel Amant me fuc defliné par le Cid, pourmou.et.' a jamais toute volonté d'aimer eareftantrauy ameconuderer.Hnepuc~empeicherftraniportecommeiecroy de cenott< ueau dcnr~ de fapprocher de moy pour me baucr. Mais par ce qu'il e~oitarmé & a che'