LtVRE!ÏX:BSME DE LA
Or,be!!es Bergerës,jufqnes icyce~erech~ che ne m'auoit guere rapporte d'amertume tnais, he)as c'en: ce qui fen enfuiui): qui n~ tantfaitauaiter d'abtinrhe, que jfjfqn'au cercueil il ne faut pas que j'eipere de goutta qu~que doucpu.r, Il aduint pour mon mal. heur, qu'vil eâmngerpatÏancparce~e Contrée mevidendotmieittâfoncaiue des Sicomores, oùla.ffaifcheuf de l'ombrage, &: le doux Mzouiltement de l'onde m auoient fur !e hat)E dujour&ilbt.ipie. Luy, quelabeautedutieu 'aucitactiré pour parler l'ardeur du midy, n'eut plutoft jette l'ceii fur moy qu'il y rcmamm q~quechofe qui !uypleuû. Dieux que) hom. me,ouptutoftque!mon~reeRoit ce 'II auoit le vifage re)uifantde noirceur, les eheueuxncourcis&meflez comme!a!&inede nosmou< tons, quand tin'yaou'vn mois ou deux qn'ca Ïesarondu!. La barbe 9 petirs bouquets daitementefpancheeaucour du manton, le nez ap!ary entre les yeux & i'ebauffe &:)argep~rfë bout,)a. bouche groflejes leures renuerfées, &rprefque fenduës fous lenez: mais rien n'e. iloicnefcrangeque fes yeHx:caren[outieMïas;ei!n'yparoinoi!:ncnc)e blanc, quecequit en decouuroit quand il les rouioic dans !i refte. Ce bel Amant me fuc defliné par le Cid, pourmou.et.' a jamais toute volonté d'aimer eareftantrauy ameconuderer.Hnepuc~empeicherftraniportecommeiecroy de cenott< ueau dcnr~ de fapprocher de moy pour me baucr. Mais par ce qu'il e~oitarmé & a che'