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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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âffe&ion 1 obligeoit entiers vous) luy pouuoiE permettre je m'en remets à vous-mefme,fi vous voulez vous en reffouuenir: tant ya que je ne çrcy point qu'il vous ait jamais defobey es quépour ce feuliùjet j'& à la vérité ce luy cfloit vne contrainte fi grande, que toutes les fois qu'iïreuenoit du lieu ou il eftoit contraint de •feindre, il falloit qu'il fe mit fur vn lict, comme reuenant de faire vn très-grand effort :& lors jlFarrefta, pour quelque temps, & puis il xepritainuï Or fus Àftrée, mon frère e&1 mort: f'en efï fait, quoyquevous en croyez, ou méçroyez ne luy peu r'apporter bien ny mal, de forte quevous ne deuez plus pëfér que ie vous en parle en fa confiderâtion mais pour la féule vérité toutefois ayez-en telle croyance qu'il vous plaira, fi vous jureray-je qu'il n'y a point deux jours que je le tf ouuay grauant des vers fur l'efcorce de ces arbres, qui fontpardelà la grade prairie, à main gauche du bië,& m'aflèure que fi vous y daignez tourner les yeuxyous remarquerez que c'eft luy qui les y a couppez: car vous recognoiffez trop bien fes caractères,, fi ce n'eft qu'oublieufe de luy, & de les feruices palïez,vous ayez'de mefme perdu la mémoire detout ce qui le touché mais je m'aflèures que les Dieux ne le permettront pourfafatisfaétiÔ,& pour r vofire puniti5: les vers font tels MADRIGAL^

Rffâ Epourraj bien dejjus moy- mefene Ea,~üyraÿ bien d~rzs snoy-nael'mé >sM.jî)uoy que mon arnourjoit e^trejtns^ D

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