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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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LlVR.ECINQ~YtESME DE I.À

de ce qui PeU paile entre nous & que j'ay “ toujours ouy dire qu'aux ménages d'A.“ mour, il fe faut feruir des perfbnacs qui ne M font point hayes il eft.vrayqu'i! ne faut pour S[eUe y regarder de fi pres, puis que 'e vous aC ~eure quevonsyfefezau~! bien vos aSairesde celte forte que d'vne ancre. Voy~ donciepau. nre LySs au lieu d'Amant deuenu meila~et d'Ainotu',meiHer que fbnamiiie!ny com man.da de faire pour moy, non point par acquit: maisenintenriondem'yieruir en amy,quoy qn.ep€utef~rec!epuis!'Amoui'luy6n: en quel.que (ofi.e changer ce de~em, comme ie vous diray rmais en cela i! fautaccufer4a violence d'Amour,&:Ieponuoir trop abiblu qu'il a fur les homes &: admirer lai'amidéqu'irmepor- toit, qui luy permit de jconfenura le priuer à jamais de ce qu'il aimoit, pour me le faire pofieder. Que!quesjours après recherchantîacomodite de parier à el!e il la trouuan à propos chez-elle, qu'il n'y auoit perfonne qui peuit incerrompre ibn ditcours, pour !on~ qu'il le 'voutuc faire, &: !ors rcnoi.iue!!ant le ibuuenir del'injure qu'ilen auoit eue: il ~arma re!iemen: contre fes attraits, qu'Amour n'eut guiere d efpoir pour ce coup de le ponuoir vaincre; ce ne fur pas que la Bersere ne mi~ autant d'etrude pour le lurmonier, que luy pour trouuer des fëuretezpour faliberté: mais par ce que contre Amour il oppofa le delpic ~l'amiric le premier armé de l'offense &' rautrediideHoir., il demeura inuaincu en ce