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Titre : Première partie de l'Astrée de messire Honoré d'Urfé ,... où, par plusieurs histoires et sous personnes de bergers et d'autres, sont déduits les divers effects de l'honneste amitié...

Auteur : Urfé, Honoré d' (1567-1625). Auteur du texte

Éditeur : T. Du Bray (Paris)

Date d'édition : 1612

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11957467z

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31513531z

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : [VI]-408 f., [6] p. : frontisp. gr. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 845

Description : [L'astrée (français)]

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1191689

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Y2-8801

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 29/09/2008

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Livre Q^yÂTRiESME de ia* L Mais quoy fert celajî comme de fafeurce, lïedu fiudain qu'elle y naijl incontinent f' enfuit* `: ` De mejme dufii l'^Cmour d' ">»e foudame loùrje S'enfuit loing de ces jeux, quoy qu'il en foit produit. > ^A [on exemple au fil fuyons les cesheauxyeux, Fuyons les ,©" croyons,quecefl pour nojlre mieux It quand ils mut "foudroient faire quelque pourfuittet N'attendons point leurs coup s n'y pouuant refiler. Canl ~yattt beaucèup mieux fe fauuer à lafuitte. Que d'attendre la mort qu'on peut bien ettiter. le croy'que Lycidas n'euft pasfi promptem entrais fin à la cruauté dont Phillis refufoit fon afîèftion, fi de fortune vu jour qu'elle & moy,felon noftre couftume nous allions pror mener le long de Lisjnan, nous n'euffions rencontré ce Berger dans vne Ifle de la riuiere, en lieu fort efcar.té,& il n'y auoit pas apparance de fainte. Nous le vifines dVn des collez de ]aiïuiere,;quieftoitbienaflez large & profon-' de pour nous empefcher d'aller ileftoit, mais non pas d'ouyr les vers qu'il alloit plaignanc,en traçant,à ce qu'ilfembloit, quelques chiffres fur le fable auec le bout de fa houlet- te, que nous ne pointions reconnoiftre, pourk diftance qu'il y auoit de luy à nous mais les vers eftoient tels.