t. PA~T!< t D'ASTREB.
notK homme dépende courage. G'eft vertu, [efpondit Contas d'être courageux mais c'g~vne folie au~Ii d'être téméraire.. A !a< preuue, répliqua Céladon, on cognoiftra quel je iuis & cependant je vous promets enco[gyn coup, queje ne m'en dédirayiamais. Et par ce que ie faifois femblant de ne prendre !~rdea!eurdifcour!i,adre!la.ncfaparo]eàmoy, i[nie dit Et vous belle Bergère, quelle opinion en auez vous! le ne fgay, luy refpondis-je, dequoy vous parlez. Ilm'adu,repric Corilas, que pour tirer vn grand bien d'vn grand mal, il voudroit que la haine de vos peres fu(t changée en amour entre les enrano. Comment, refpondis-je, faifant femb!antdene!e cognoiftre pas ettes vous fils d'Alcippe ? & m'ayant retpondu qu'ouy & de plus mon feruiteur. Il me femble, luy dis-je, qu'il eu~ cite plus à propos que vous vous fudiez mis* aupres de q~et qu'autre, qui euâ eu pluis d,'ocahon de l'auoir agréable que moy. l'ay bien ouy dire, reptiqua Céladon, que les Dieux punifrent les erreurs des peres fur les enrants: “ mais entre les hommes ce!a n'a jamais efte~ accoutume ce n'efr pas qu'il ne doiue eftre permis ~voUre beauté qui'e~ diuine d'vfer des mefmcs priuiiegc~ des Dieux mais fi cela eft, vous deuez auf~Ii comme eux Je pardon qua:id on le vous demande. Eft-ceainfi Berger,in[errompi):Con!a.s, que vous commencez vo~re combat èn criant mercy ? En tel ~'Hb:j.~ re~pondic-ii~ ëttre vaincu c'eft vne