Icare temeraire, il M'e/? permis qu'aux dieux, Et de ne ~r~r~<M vo!r~ beaux yeux, Voila mon ~iM~r~K~e, tout eK/em~/c celle Qui merite le KOtM l'honneur d'immortelle, Z? ~t~~yCM/eMCM~ à celuy qui n'a pas
L'honneur de la coMKo~re de voir fes apas, Qu'elle efl vne Fr!MC~ë, <& que t'CM r<~Mr~KC6 D'aimer, en /~y6rM<ïK~, la plus belle de ~r<!Mc&' 0 vers que !'<Ke tant, dites à l'vniuers
~M*M!C Pr!KC6~e fM'<Ï:?He C<!M/e M!M vers, Si ie peche en l'aimant, ieferaypenitence D'auoir trop tard commis vne fi belle o~Kcc. AfbM Pr:Kce, ~rm~f~ que ie contemple encor De cc~oaf que ie voy les cheueux qui font d'or, Et ~Mt~Zo~M~) ce MM~/C, <!M<?C cettefonteine; Par ces <rMr<ï: beaux ie connoy Madeleine: QMe~ cette eau donnoit /c~<t~~e à fa voix Dont ellepeut charmer les atireilles des Rois, Alors vous !Mg'e~'M~ M!OM amour raifonnable, Car -vous rceoKMO~r~ combien elle e~ aimable: Mais vn diffoursfi Vr~' vous ~OMKC ~M~OMpCOM, Difant que mon amour auroit de raifon, Si la raifon guidoit Z'e/pr~ de ce/oM<re, Mon e/pr~~ro!f-t/?M raifon MoM~~e
De tant d'autres ~C~M~ qu'vn magique pinceau A~~re/eK~ en portrait dans le creux de cette caM? TeM!er<Mre Ixion, aimeray-ie des KMey?