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Notice complète:

Titre : Salammbô (2e édition) / par Gustave Flaubert

Auteur : Flaubert, Gustave (1821-1880). Auteur du texte

Éditeur : Michel Lévy frères (Paris)

Date d'édition : 1863

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12258451r

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30440399m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (475 p.) ; in-8

Format : Nombre total de vues : 478

Description : [Salammbô (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1177376

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Y2-35863

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 23/02/2008

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le prétexte d'une affaire ou d'une friandise qu'ils allaient acheter; les serviteurs de Moine))'survenaient et prenaient les enfants. D'autres les livraient euxmêmes, stupidement. Puis on les emmenait dans le temple de Tanit.. ou les prêtresses étalent ci~r~'ees jusqu'au jour solennel de tes amuser et de les nou!'rh'.

Ils arrivèrent, ctiexnamitcartout. à coup, et le trouvant dans ses jardins:

– « Harca! nous venons pour la. chose que t)t sais.ton fus! » Ils ajoutèrent que des gens F~'\aieut rencontré un soir de i'auk'e lune, au milieu des Mappaies, conduit parun vieillard.

[i fut d'abord comme suffoque. Mais bien vite comprenant que toute dénégation serait vaine, Hamitcar s'inclina, et il les introduisit; danshtmaisonde-cnnnnerce. Des esclaves accourus d'un signe en surveillaient les alentours.

Il entra dans la cijambrcdcSalannnbô tout éperdu. Il saisit d'une main Uanniba), arracha de l'autre la ganse d'un vêtement q~ul tramait, attacl)a ses pieds, ses mains, en passa l'extre~nte dans sa. bouclie pour l' lui fah'e un bâillon, et 11 le cacha sous le lit de peaux de ))~enf,e)) laissant retomberjusqu'aterre une )a!j;c draperie.

J~nsune il se promena de droite et de gaucl)c, rapidL'u]p)]t; il ievaitles bras, il tournaitsur lui-même, il se mordait les lèvres. Puis il resta les prunelles !i\es et ))aletantcomme s'il allait mourir.