Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 372 à 372 sur 478

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Salammbô (2e édition) / par Gustave Flaubert

Auteur : Flaubert, Gustave (1821-1880). Auteur du texte

Éditeur : Michel Lévy frères (Paris)

Date d'édition : 1863

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12258451r

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30440399m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (475 p.) ; in-8

Format : Nombre total de vues : 478

Description : [Salammbô (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k1177376

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Y2-35863

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 23/02/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 79%.


sible sans s'occuper d'eux; on les abandonna.; tous périrent; et bien qu'ils fussent haïs généralement;, on n'en conçut pas moins pour Humifcar une grande horreur.

Le lendemain, il ouvrit les fosses où il gardait du blé; ses intendants le donnèrent au peuple. Fendant trois jours on se gorgea.

La soif n'en devint que plus intolérable; et toujours ils voyaient devant eux la longue cascade que faisait en tombant l'eau claire de l'aqueduc. Sous les rayons du soleil, une sapeur fine remontait de sa base, avec un arc-en-ciel a cote, et. un petit ruisseau, formant des courbes sur la plaine, se déversait dans le golfe.

!)amitcar ne faiblissait pas. Il comptaitsur un événement, sur quelque chose de décisif, d'extraordinaire.

Ses propres esclaves arrachèrent les lames d'argent dn temple de Meikarth, on tira du port quatre longs bateaux, avec des cabestans on les amena jusqu'au bas des Mappaics, le mur qui donnait sur le rivage fut troué; et ils partirent pour les Gaules, afin d'y acheter, n'importe a quel prix, des Mercenaires. Cependant Hamilcar se désolai), de ne pouvoir communiquer avec le roi des riumides, car it )e savait derrière les Barbares et prêt a tomber sur eux. Mais r~u'r'ÏInvas, trop faibic, n'allait pas se risquer seul, et le Su!!ete fit rehausser !e rempart de douze pairnes, entasser dans l'AcropuIc tout le matériel des